Clément Egué, nominé de « La Différence – Abidjan 2018 »

Certains nominés se sont prêtés au jeu de l’interview pour le plaisir du partage poétique ! Découvrez le poète Clément Egué, nominé dans la catégorie « Prix La Différence – catégorie Adultes ».

 

Quel est votre nom d’auteur et votre pays de résidence ?
Oxo. France

 

Depuis quand écrivez-vous ?
2012


Avez-vous déjà été publié ?

Tendresse et passion en 2012 aux éditions Encre bleue – recueil collectif de poèmes. Une anthologie des plus beaux poèmes d’amour recueillis auprès d’auteurs de divers horizons pour célébrer la Saint-Valentin.

Les mystères du cœur en 2014 aux éditions Edilivre – recueil de nouvelles. Six nouvelles qui présentent des amours qui ont des raisons que la raison ne peut connaître. La rivière des illusions  en 2017 aux Editions du net et en cours de réédition – recueil de nouvelles. Un roman de neuf nouvelles entremêlées comme les fils du destin et qui dépeignent une quête humaine universelle, une volonté commune de se forger un destin.

Anthologie des Poètes à l’honneur en 2018 chez MAP Editions. Une anthologie des auteurs du collectif «Poètes à l’honneur» pour partager et faire vivre l’amour de la poésie.

 

Pourquoi aimez-vous écrire ?
J’aime écrire parce c’est pour moi une source de plaisir ; pour échanger des idées et faire émerger des émotions. Je considère l’écriture comme l’un des derniers remparts de la parole libre. Le livre est un moyen de rencontre en dehors du temps et de l’espace. Nous pouvons ainsi, côtoyer des personnages ayant vécu il y a de cela des siècles et nous pourrons communiquer avec des lecteurs.trices qui ne sont pas encore nés.ées.
Les anciens égyptiens distinguaient trois niveaux de l’être : le corps, l’âme et le Ka. Le Ka est notre moi social, le visage que nous composons pour accompagner un temps durant les autres visages. J’écris pour faire vivre mon Ka. J’estime avoir des choses à dire et aime à le partager. Ecrire est aussi une façon de participer «au vivre ensemble», de contribuer modestement au débat citoyen tant soit-il que notre voix puisse porter. Pour pouvoir dire, notre admiration ou notre indignation.
Et enfin j’écris car la poésie permet d’apporter un supplément de langage. De nommer ces choses que le verbe a oublié.

 

Revenir à la page des nominés de la catégorie